Il a dit…

rogers

 

Extraits et citations de Carl Rogers

« Les seules connaissances qui puissent influencer le comportement d’un individu sont celles qu’il découvre par lui-même et qu’il s’approprie. »

« C’est au moment où je m’accepte tel que je suis que je deviens capable de changer. »

« Les questions les plus personnelles sont les plus universelles. »

« Ce qu’il y a de plus profond au cœur de l’homme est digne de confiance. »

« Chaque individu est unique. Il détient au plus profond de lui sa propre vérité, sa vie, et le tracé potentiel de son chemin, qu’aucune science du psychisme ne peut enfermer… Il peut accéder à ses ressources s’il se sent compris, accepté, non jugé. »

« Si j’accepte autrui comme quelque chose de figé, déjà diagnostiqué et classé, déjà formé par son passé, je contribue ainsi à confirmer cette hypothèse limitée. Si j’accepte autrui comme processus en devenir, alors je fais ce que je peux pour confirmer ou rendre effectives ses potentialités.»

« La vie, dans ce qu’elle a de meilleur, est un processus d’écoulement, de changement où rien n’est fixe. »

« Tout être est une île, au sens le plus réel du mot, et il ne peut construire un pont pour communiquer avec d’autres îles que s’il est prêt à être lui-même et s’il lui est permis de l’être. »

« D’après mon expérience, les personnes ont une orientation fondamentalement positive. »

« Ce n’est pas que cette approche donne du pouvoir à la personne, c’est qu’elle ne lui en enlève jamais. »

« J’entends par relation d’aide, toute relation dans laquelle l’un au moins des deux protagonistes, cherche à favoriser chez l’autre, la croissance, le développement, la maturité, un meilleur fonctionnement, et une plus grande capacité d’affronter la vie. L’autre peut être, dans ce cas, soit un individu, soit un groupe. »

« Les individus n’évoluent pas à partir d’un point fixe et « homéostatique » vers un nouveau point fixe, bien que ce genre de processus soit possible. Au contraire, le continuum le plus significatif se développe à partir d’un point fixe vers le changement, à partir d’une structure rigide vers une fluidité, à partir d’un état de stabilité vers un processus évolutif. »

« La compréhension comporte un risque. Si je me permets de comprendre vraiment une autre personne, il se pourrait que cette compréhension me fasse changer. Or, nous avons peur du changement. »

« C’est une véritable réussite quand nous pouvons apprendre, même dans certaines relations ou à certains moments dans ces relations, qu’il n’est pas dangereux de prodiguer l’attention, qu’il n’est pas dangereux d’établir un rapport avec l’autre en tant que personne pour laquelle nous avons des sentiments positifs. »

« A mes yeux, l’expérience est l’autorité suprême. Ma propre expérience est la pierre de touche de toute validité. Aucune idée, qu’il s’agisse de celles d’un autre ou des miennes propres, n’a le même caractère d’autorité que mon expérience. C’est à elle que je dois revenir sans cesse, pour m’approcher de plus en plus de la vérité qui se développe graduellement en moi. »

 » Je suis persuadé que la « vie pleine » est réservée aux cœurs vaillants, plutôt qu’aux petites natures : il faut grandir et s’agrandir pour s’accomplir, il faut du courage pour être, comme il en faut pour se plonger tout entier dans le courant de l’existence. Et pourtant – source inépuisable d’enthousiasme – ce sont cette vie, ce devenir, que choisit l’être humain quand dans son cœur il se sent libre. » extrait de : « la personne totalement intégrée : image de la vie pleine aux yeux du thérapeute » in : « l’approche centrée sur la personne »

« Si nous admettons (…) que chaque être humain habite une réalité différente ; si nous voyons, dans la diversité de ces réalités, le plus précieux des savoirs que puisse nous léguer l’histoire de l’humanité ; si nous parvenons à vivre ensemble et, sans peur, à échanger nos savoirs, alors, à toutes ces conditions, se lèvera peut-être pour l’humanité l’aube d’un âge nouveau. Et peut-être (…) la sensibilité humaine, dans ce qu’elle a de plus profond, ouvre-t-elle la voie à ces changements. » extrait de : « Avons nous besoin d’une réalité? » in : « l’approche centrée sur la personne »

« L’hypothèse sur laquelle repose cette approche centrée sur la personne tient en quelques mots : l’être humain a en lui d’immenses ressources, qui lui permettent de se comprendre lui-même, comme de modifier sa propre image, ses attitudes et son comportement volontaire, et ces ressources peuvent être exploitées pour peu qu’on leur offre un climat caractérisé par des attitudes psychologiques facilitatrices. »

« Dans mes relations à autrui, j’ai découvert qu’il ne servait à rien, à long terme, de me conduire comme si j’étais ce que je ne suis pas. »

 

 

 

CEDRE, association loi 1901 à but non lucratif , pour le développement de la Thérapie Centrée sur la Personne
N° RNA : W111004186 – SIRET : 824 819 304 00018

Haut de page